Le projet d’accord sur la Qualité de Vie et les Conditions de Travail est à la signature après sept séances de négociation.
Il nous a fallu 7 séances en raison du comportement irresponsable d’une organisation syndicale représentative dont certains représentants ont appauvri le débat, préférant répandre des propos mensongers, des insultes et de l’agressivité plutôt que de participer de manière constructive aux débats.
Cet accord est décomposé en 3 parties principales :
I – L’EFFICACITE
- Le Travail hybride (travail sur site + Télétravail)
- La prévention de l’isolement (les techniciens terrain, les salariés en télétravail)
- La résolution des irritants
- L’efficacité de la journée de travail
- L’équilibre des temps de vie
Sur cette première partie, plusieurs de nos demandes ont été prises compte par la direction, notamment :
• Une meilleure prise en compte et traitement des problèmes de charge de travail (remontée par le salarié concerné ou un collègue vers le manager, ou le RRH, ou les représentants du personnel, ou via MyRH). Aucun salarié ne sera pénalisé pour avoir remonté une problématique liée à sa charge de travail.
• En cas de projet d’évolution d’organisation, la direction s’engage à procéder à l’analyse de la charge de l’activité concernée afin de réguler les ressources nécessaires.
• En cas d’annulation des congés payés pour force majeur ou urgence, prise en charge au cas par cas des dépenses engagées et non remboursables (location, etc.) et dépenses supplémentaires (garde enfants, etc.).
• Pour les salariés proches aidants nous avons obtenu une souplesse dans la pose des congés et l’accès au temps partiel ainsi que dans l’aménagement de leurs horaires de travail.
• Obtention de la prise en charge à 100% pendant la durée du congé pour solidarité familiale et proche aidant des cotisations retraites salariales et patronales afin que les droits à la retraite ne soient pas impactés.
• L’UNSa a obtenu la mise en place d’indicateurs de suivi sur le nombre d’entretiens demandés sur MyRH relatif à la charge de travail, le nombre de salariés ayant bénéficié d’un congé de solidarité familiale et/ou d’un congé proche aidant.
Cependant, nous n’avons pas été complètement entendu par la direction notamment sur la mesure de la charge de travail. Notre volonté sur ce point, est de pouvoir identifier les risques liés à la charge de travail avant que cela ne se transforme en RPS ou burn-out pour le salarié, d’autant que dans ce genre de cas, le salarié concerné masque très souvent le problème.
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Le pdf complet : Tract QVCT